C'est sur cette question qu'a porté l’atelier de lancement et de programmation des activités du projet du Fonds pour l'environnement mondial (GEF), intitulé « Evaluation à grande échelle de la dégradation des sols pour orienter les investissements futurs en matière de gestion durable des terres dans les pays de la Grande Muraille Verte (Burkina Faso, Ethiopie, Niger et Sénégal) », auquel a participé la représentante de l'OSS, Mme Ndeye Fatou MAR.
L’atelier avait pour objectifs majeurs de lancer officiellement le projet, en présence de tous les partenaires impliqués : PNUE, CILSS/AGRHYMET, LUCSUS, SERVIR WA, IRD, APGMV et ESA) et des points focaux nationaux des agences de la Grande Muraille Verte du Burkina Faso, de l’Ethiopie et du Niger. Il a également permis de planifier les activités, de clarifier le rôle de chaque institution partenaire et de définir les niveaux d’intervention des pays autour des sites pilotes.
Ce projet devrait permettre de passer effectivement à une phase opérationnelle dans la lutte contre la dégradation des terres, à travers notamment un appui à la mise à l’échelle des bonnes pratiques de GDTE dans l’espace de la Grande muraille verte (GMV). Etant rappelé que la GMV est une vision de gestion intégrée des écosystèmes le long d’une bande que les Etats sont libres de choisir.